Meilleure
option
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Phrozen Sonic Mega 8K S
  • Optimisée pour la impression rapide
  • Calibrée en usine
  • Détails de conception bien pensés
  • Le couvercle attire les gouttes de résine
 
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Option
petit budget
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Anycubic Photon M3 Max
  • Prix abordable
  • Facilité d’utilisation
  • Remplissage automatique de résine
  • Cuve peu profonde
  • Couvercle instable
 
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Version
améliorée
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Peopoly Phenom XXL V2
  • Énorme volume d’impression
  • Fonctionnalités avancées
  • Prix compétitif
  • Un peu chère
  • Résolution 4K « seulement »
  • Volume d’impression exigeant
 
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Les imprimantes 3D résine sont de moins en chères et elles font de plus en plus parler d’elles, ce n’est donc pas une surprise si les modèles de bureau rencontrent aujourd’hui un franc succès. Mais face à une telle offre, pas évident de faire un choix éclairé !

Avant, les imprimantes 3D résine abordables restaient très petites, mais ce n’est plus tellement le cas aujourd’hui. Il existe désormais des machines assez généreuses pour concrétiser tous les projets des makers qui voient grand.

Nous en avons testé un grand nombre afin de ne vous conseiller que les meilleures (et quelques-unes en plus qui méritent aussi votre attention). Voici donc sans plus attendre notre palmarès des meilleures imprimantes 3D résine grand format du moment.

Meilleures imprimantes 3D résine grand format

Meilleure option : Phrozen Sonic Mega 8K S Option petit budget :
Anycubic Photon M3 Max
Version améliorée :
Peopoly Phenom XXL V2
Prix approx. (€) 1 550 € 780 € 7 500 €
Volume d’impression 330 x 185 x 300 mm 298 x 164 x 300 mm 527 x 296 x 550 mm
Résolution LCD 7680 x 4320 pixels (8K) 6480 x 3600 pixels (7K) 3840 x 2160 pixels (4K)
Résolution XY 43 microns 46 microns 137 microns
Nivellement de la plaque Nivelé en usine Manuel Manuel
Interface utilisateur Tactile 3,5 pouces Tactile 4,3 pouces Tactile 7 pouces
Connexion USB USB Wi-Fi, USB, Ethernet
Film du bac résine
ACP FEP FEP
Matériaux Résine UV 405 nm Résine UV 405 nm Résine UV 405 nm
Slicer fourni ChiTuBox Basic, Lychee Slicer, Voxeldance Tango Anycubic Photon Workshop ChiTuBox Basic
Consommable LCD 8K 15″ (env. 75€) LCD 7K 13,6″ (env. 190 €) LCD 4K 23,8″ (env. 340 €)
Dimensions du cadre 472 x 380 x 566 mm 400 x 408 x 596 mm 780 x 570 x 1120 mm
Poids 26 kg 21 kg 110 kg
Consultez les prix (liens affiliés)

Choisir son imprimante 3D résine grand format

À côté des imprimantes FDM, qui doivent déplacer leurs composants sur plusieurs axes, les imprimantes 3D résine à écran LCD paraissent bien basiques. Ces machines se déplacent en effet sur un seul axe, le Z, et l’impression repose uniquement sur un processus lumineux statique. Sans surprise, les imprimantes 3D résine de bureau fonctionnent donc plus ou moins toutes de la même manière et se ressemblent beaucoup.

Cependant, bien que la technologie résine reste relativement peu complexe, imprimer des modèles de grande taille peu s’avérer plus compliqué : plus une impression est grande, plus la force physique à laquelle elle est exposée pendant le processus d’impression est importante. Il faut donc redoubler d’attention pour soutenir suffisamment le modèle.

Mais au-delà du volume d’impression, il faut aussi regarder la taille de l’écran LCD, son nombre de pixels et, par corrélation, la résolution de l’imprimante. Si vous hésitez entre deux machines, ces facteurs sont décisifs. Rappelons que si des indications telles que « 4K » ou « 8K » attestent en effet d’une impression de plus haute résolution, cette dernière est en réalité déterminée par la taille de l’écran LCD de masquage.

Outre le volume et la résolution, ne sous-estimez pas certains critères comme la facilité d’utilisation et les fonctions pratiques qui vous aideront à réaliser des impressions de grande taille. Pensez par exemple à la nécessité (ou non) de niveler le plateau avant l’impression et regardez si la cuve de résine se retire et se remplit facilement. Vous arriverez sans doute mieux à imprimer de grands modèles à l’aide d’une imprimante nivelée en usine (plus le plateau est grand, plus le processus se complique). De même, le remplissage automatique de la cuve de résine est une fonction toujours bienvenue et très pratique pour les impressions de grande taille et gourmandes en supports, notamment. Il ne faut pas négliger ce type de caractéristiques sur les imprimantes 3D résine grand format, car elles permettent une bien meilleure expérience d’impression.

Enfin, réfléchissez bien au vendeur auquel vous allez acheter l’imprimante. Ces machines pèsent leur poids, et ce n’est pas peu dire. Si vous vous adressez à un site étranger, vous risquez d’une part de payer le prix fort en frais de livraison, mais aussi en frais de douane. Il est parfois préférable de choisir un revendeur plus proche de chez vous !

Meilleure option
Imprimante 3D résine XXL

Meilleure option : Phrozen Sonic Mega 8K S

Photo de Imprimante 3D résine XXL: Meilleure option : Phrozen Sonic Mega 8K S
The Phrozen Sonic Mega 8K S (Source: All3DP)

L’impression 3D résine, ça n’est pas de tout repos. Et si vous passez à l’impression 3D résine grand format, attendez-vous à devoir manipuler en plus (à deux mains !) une énorme plaque d’impression et une grosse cuve de résine. Le potentiel catastrophe grimpe en flèche. Heureusement, la Phrozen Sonic Mega 8K S a le mérite de limiter les dégâts grâce à un design particulièrement convivial et à une plaque d’impression pré-calibrée. À peine déballée, elle est prête à imprimer.

Vendue environ 1 550 €, elle permet de réaliser des économies significatives par rapport à son prédécesseur, la Phrozen Sonic Mega 8K, tout en apportant plusieurs améliorations sur le plan ergonomique.

Elle est dotée d’un nouveau design marqué par un couvercle à charnière qui s’étend au-dessus de l’imprimante. Il remplace les doubles portes de la Mega 8K d’origine qui, une fois ouvertes, prennent beaucoup de place. Ce changement permet à la Mega 8K S de rester étonnement compacte au vu de son volume d’impression de 330 x 185 x 300 mm.

La gestion des matériaux est assurée par une cuve de résine à double poignée, qui vient se nicher dans un renfoncement à l’intérieur de l’imprimante. Vous pouvez aussi opter pour la pompe à résine en option, la Phrozen Pump & Fill, pour un remplissage intelligent de votre matériau. Pratique pour les impressions longues. N’ayant pas encore testé cet accessoire, nous ne nous prononcerons par sur son efficacité.

La plaque de la Sonic Mega 8K S est fournie pré-calibrée : une fois que vous avez déballé la machine de près de 30 kg et que vous l’avez positionnée au bon endroit (faites appel à un ami, elle ne se porte pas toute seule), il ne reste plus qu’à la remplir de résine et à lancer l’impression.

Bien sûr, c’est un peu plus compliqué que cela. Vous devrez commencer par choisir un slicer adapté et trouver le bon profil d’impression résine. De ce côté-là, un bon point pour Phrozen, qui propose trois slicers bien connus sur la clé USB fournie dans la boîte. Vous trouverez aussi un tableau exhaustif des réglages des matériaux vérifiés par l’entreprise (dans des conditions spécifiques) sur le site web de Phrozen. Un test d’impression est également fourni avec l’imprimante pour vous permettre de composer un profil personnalisé pour la résine de votre choix.

Par défaut, un film ACF est fourni avec la Sonic Mega 8K S. Il vous permet d’imprimer rapidement, mais c’est au prix d’une durée de vie réduite de l’écran LCD et du film lui-même. Et quand on dit « rapidement », on parle plus précisément de la vitesse de transition entre les couches : l’imprimante passe chaque étape plus vite. Le film libère la couche précédemment durcie en douceur, évitant ainsi qu’une tension potentiellement destructrice ne détruise le print.

Un crochet bien placé permet de suspendre la plaque après l’impression et de laisser la résine s’écouler dans la cuve avant de retirer votre print pour le nettoyer.

Par ailleurs, Phrozen propose des stations de lavage et de polymérisation qui peuvent accueillir les grands modèles et les lots de modèles que vous allez créer. Parfait pour un travail bien ordonné !

Après quelques semaines d’impression, notre principale critique se résume à une bizarrerie qui peut être spécifique aux conditions dans lesquelles nous imprimons : le grand couvercle en plastique vert semble contenir une charge statique qui attire les gouttes de résine. Ce phénomène est probablement amplifié lorsque l’on retire le film étirable dont le couvercle est recouvert pour l’expédition. Phrozen recommande d’essuyer le couvercle avec de l’essuie-tout imprégné d’alcool isopropylique avant utilisation.

Dans l’ensemble, il s’agit d’une imprimante 3D résine grand format facile à manipuler et très pratique pour les travaux de grande envergure.

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Phrozen Sonic Mega 8K S Commission perçue
Phrozen Sonic Mega 8K S
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Meilleure option petit budget
Imprimante 3D résine XXL

Option petit budget : Anycubic Photon M3 Max

Photo de Imprimante 3D résine XXL: Option petit budget : Anycubic Photon M3 Max
Anycubic's buget approach with the Photon M3 Max (Source: All3DP)

La M3 Max est la première imprimante résine XL d’Anycubic, et elle se distingue par un volume d’impression énorme de 298 x 164 x 300 mm. Elle renferme un écran 7K de 13,6 pouces et de 6480 x 3600 pixels, ce qui équivaut à une résolution XY de 46 microns.

La plate-forme d’impression est gravée au laser en damier, dans le style que l’on connait à Anycubic, ce qui offre une bonne adhérence pour les impressions lourdes que vous lui réservez probablement. Pour son bac de résine, Anycubic inclut également une variante de feuille FEP. Contrairement aux films transparents que l’on trouve habituellement sur la plupart des imprimantes, celle-ci présente une texture mate. Ceci est censé faciliter la libération du modèle entre les couches, une nécessité pour les impressions de grande taille, si vous voulez qu’elles soient vraiment réussies.

La Photon M3 Max possède également un système de remplissage automatique, qui consiste simplement en une bouteille de résine fixée à l’arrière de la machine. Grâce à la pression positive, le système pousse la résine vers le bac (à travers un tube) dès que le capteur dédié indique que cela est nécessaire. Notez qu’il est possible de désactiver cette fonction, parce que oui, c’est bien pratique de ne pas avoir à remplir la cuve en plein milieu d’une impression, mais cela vous oblige aussi à devoir manipuler un bac toujours rempli à bloc (par exemple si vous voulez changer de type de résine ou de couleur). Le bac en question est d’ailleurs très peu profond, ce qui n’aide pas.

Le slicer propriétaire d’Anycubic, Photon Workshop, est livré avec l’imprimante et possède toutes les fonctions nécessaires à une impression résine efficace. Vous pouvez aussi utiliser d’autres slicers, notamment Lychee et ChiTuBox, qui prévoient tous deux des profils pour la Photon M3 Max.

Au déballage, vous trouverez dans la boîte un film de protection pour recouvrir l’écran LCD. C’est donc à vous de le poser, ce qui n’est pas une mince affaire. Attention aux bulles d’air ! Par ailleurs, la M3 Max ne tient pas tout à fait ses promesses en matière de vitesse. Le fabricant annonce 60 mm/h, mais on est en réalité bien loin du compte.

Le couvercle, séparé en deux verticalement pour l’ouverture, est très pratique pour accéder facilement à l’imprimante, même s’il confère à cette dernière un petit look plastique. Vendue à 780 €, la Photon M3 Max est de loin l’imprimante la moins chère de cette liste, et donc l’occasion parfaite pour se lancer dans l’impression 3D résine grand format sans (totalement) se ruiner.

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Anycubic Photon M3 Max Commission perçue
Anycubic Photon M3 Max
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Version améliorée
Imprimante 3D résine XXL

Version améliorée : Peopoly Phenom XXL V2

Photo de Imprimante 3D résine XXL: Version améliorée : Peopoly Phenom XXL V2
Pictures don't do it justice – the Peopoly Phenom XXL V2 is huge (Source: Peopoly)

Si vous voulez imprimer en vraiment grand, jetez un coup d’œil à la Phenom XXL V2 de Peopoly.

Elle ne s’appelle pas XXL pour rien : avec son volume de 527 x 296 x 550 mm, elle pourrait bien être la plus grande imprimante 3D résine de bureau sur le marché actuel. Pour mettre les choses en perspective, cela représente environ deux fois et demie la capacité de la Mega 8K. Si imprimer un grand nombre de pièces en même temps ne vous suffisait pas, la Phenom XXL vous permet d’imprimer un grand nombre de grandes pièces.

Avec une taille pareille, la résolution en prend un peu un coup. Le masque LCD 4K de l’imprimante n’offre qu’une résolution XY de 137 microns, ce qui représente un recul considérable par rapport à la Sonic Mega 8K. Mais que cela ne vous rebute pas pour autant : les impressions de grande taille nécessitent de toute manière généralement un post-traitement.

La Phenom permet d’imprimer des objets d’une taille impressionnante, des objets que vous devriez produire en plusieurs parties avec la plupart des autres imprimantes. Étant donné la facilité de post-traitement des impressions 3D résine, la Phenom XXL est une aubaine pour les professionnels du divertissement et les ingénieurs disposant d’un budget limité. Vous ne pourrez peut-être pas obtenir des détails intriqués sur les plus petites zones, mais même à 137 microns, la finition des impressions devrait rester assez fine.

L’extérieur de l’imprimante est constitué de panneaux en métal et d’une ouverture sur l’avant. En termes d’encombrement, cette solution n’est pas aussi performante que la Sonic Mega 8K et ses portes papillon, mais vu la taille de la XXL, il lui faudra de toute manière un espace dédié dans votre atelier, c’est donc un faux problème.

Tout comme la Sonic Mega 8K, la Phenom XXL possède une plaque d’impression perforée pour réduire le poids et les contraintes. Sa grande cuve en aluminium peut contenir plus de 6 litres de résine, ce qui est amplement suffisant pour son énorme volume d’impression.

Parmi les autres évolutions de la V2 figurent la connectivité wifi et la caméra infrarouge pour contrôler à distance les impressions. Des améliorations significatives qui portent l’expérience d’impression à un tout autre niveau.

Vendue 7 500 €, ce n’est pas un achat que l’on fait sur un coup de tête. Rappelons tout de même que Peopoly inclut actuellement dans ce prix un écran LCD supplémentaire, un film de rechange pour le bac de résine, et des bouteilles de résine. De quoi, peut-être, faire passer la pilule pour les clients européens et américains. Pour les impressions vraiment grandes, cette imprimante est peut-être la seule solution « grand public » (c’est-à-dire accessible) qui existe.

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Peopoly Phenom XXL V2 Commission perçue
Peopoly Phenom XXL V2
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Les autres machines

Le nombre d’imprimantes 3D résine grand format est relativement faible. Mais au-delà des options proposées ci-dessus, une petite sélection de machines valent également la peine d’être évoquées. Des machines que nous avons testées, ou que nous comptons tester sous peu.

Un guide d’achat d’imprimantes 3D résine digne de ce nom se doit de mentionner Elegoo, une référence sur le marché des machines abordables. Et l’Elegoo Jupiter y est certainement pour quelque chose. Son volume d’impression est inférieur à celui de nos options proposées ci-dessus, et son design à une seule porte n’est pas particulièrement pratique dans toutes les situations. Vendue 830 €, elle n’en est pas moins une machine performante.

Une version plus récente de la Jupiter a retenu notre attention. Nous essayons actuellement de nous en procurer une pour la tester et vous en dire plus dans ce guide. Il s’agit de l’Elegoo Jupiter SE, une imprimante au design plus léger qui abandonne la porte pour un système de couvercle plus pratique, le tout pour environ 650 €. Pour le reste, elle propose le remplissage automatique de résine et le système de filtration de l’air interne par défaut, comme sur la Jupiter de base. Elle possède par ailleurs un volume d’impression de 277 x 156 x 300 mm, un peu plus modeste que les options proposées ci-dessus.

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Notre méthode de test

S’il y a bien une chose que l’on a apprise en testant moult et moult imprimantes 3D, c’est qu’il ne faut pas s’arrêter aux apparences ni se contenter de les comparer les unes aux autres selon des critères trop larges. Cela ne fait aucun sens, par exemple, de comparer une imprimante 3D en kit à moins de 200 € destinée aux amateurs à une machine industrielle de 6 000 € capable de traiter des matériaux complexes. Ce que l’on veut savoir, c’est que la première est très facile à assembler, et que la seconde doit être constamment mise à jour et souffre de bugs permanents, en plus d’offrir des performances peu fiables.

Nous souhaitons aller droit au but en vous offrant des informations utiles et concrètes. L’imprimante est-elle agréable à utiliser ? Quelles sont ses fonctionnalités les plus notables ? Tient-elle toutes ses promesses ? Et surtout, est-ce qu’elle vaut son prix ? Nous ne voulons pas nous perdre dans des chiffres hors contexte ni nous arrêter sur des questions dont nous ne pouvons contrôler toutes les variables.

Pour qui testons-nous les machines ?

Lors de nos tests, nous prenons en compte le type d’utilisateurs auquel la machine se destine. Nous nous mettons à leur place en imaginant ce qu’ils souhaitent faire avec l’imprimante, et c’est exactement cela que nous testons. Un exemple : si nous testons une imprimante 3D grand volume, nous allons imprimer… de grands objets ! Notre but sera d’exploiter tout le potentiel du plateau et de pousser l’axe Z dans ses retranchements.

Nous prenons aussi en considération d’autres critères plus généraux, comme la facilité d’utilisation, les logiciels compatibles ou encore les solutions de dépannage disponibles. En cas de problème, l’imprimante est-elle facile à réparer ? La documentation fournie est-elle suffisante ? Le service client est-il réactif ?

Nous nous efforçons de répondre à toutes ces questions, et bien d’autres encore, afin de dénicher la meilleure imprimante 3D, c’est-à-dire celle qui répondra le mieux à vos besoins.

Pourquoi nous faire confiance ?

La confiance est un critère essentiel à nos yeux, c’est pourquoi nous appliquons une politique très stricte pour chacun des avis que nous publions. Pour nos tests, nous nous procurons les machines de deux manières : soit en nous les faisant prêter, soit en les achetant directement.

Dans le premier cas, si le fabricant n’exige pas le retour de l’imprimante prêtée, nous en faisons don à une association locale ou la stockons en vue d’une élimination ultérieure (selon des méthodes écoresponsables). Dans le second cas, pour les machines achetées, soit nous continuons de les utiliser dans nos locaux, soit nous en faisons don ou les éliminons de manière responsable.

S’il arrive qu’un fabricant (ou un mécène) nous fasse don d’une imprimante en vue d’obtenir la publication d’un avis, il n’aura aucune influence sur le résultat de nos tests ni sur le contenu publié. Il découvrira notre avis à sa publication, en même temps que vous, chers lecteurs. En cas de doute ou de problème, nous nous efforçons, dans la mesure du possible, d’en faire part au fabricant, afin de mieux comprendre le contexte, de vérifier s’il a déjà connaissance de cette question, voire d’obtenir une solution.

La monétisation de notre contenu

Afin que nos lecteurs puissent consulter gratuitement notre contenu, nous le monétisons de différentes manières, notamment à travers des liens d’affiliation : si vous cliquez sur un lien commercial et effectuez un achat, nous pouvons recevoir une petite commission de la part du vendeur. Pour plus de détails à ce sujet, nous vous invitons à consulter la section sur la publicité et les activités commerciales dans nos conditions d’utilisation.

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Quel type d’imprimante 3D choisir ?

Pour la grande majorité des gens, notre imprimante 3D « championne toutes catégories » fera parfaitement l’affaire. Elle est polyvalente, et c’est pourquoi nous l’avons choisie.

Évidemment, elle n’est pas non plus la solution universelle à tous les utilisateurs ! Heureusement, nous proposons d’autres alternatives. Voici donc quelques conseils pour vous aider à vous repérer dans ce monde merveilleux, mais non moins très peuplé. Si vous vous sentez un peu perdu et que vous ne comprenez pas tous les termes, nous proposons un glossaire très utile à la fin de cet article.

Que penser des imprimantes pour débutants ?

De nombreuses imprimantes sont affublées de cette description, que ce soit « pour débutants » ou « pour enfants ». Souvent, elles s’efforcent à tel point de materner l’utilisateur que ça en devient très vite étouffant. Plus vous gagnez en expérience, plus vous découvrez qu’elles sont limitantes sur de nombreux aspects. Si vous n’avez pas déjà des vues sur une imprimante 3D pour débutants spécifique, dont les fonctionnalités répondent à l’un de vos besoins précis, nous vous conseillons plutôt d’opter pour une machine petit budget. Vous dépenserez moins, et vous apprendrez bien plus ! Et si vous rencontrez un souci, vous n’aurez aucun mal à trouver une réponse ou de l’aide parmi les nombreux forums qui existent pour chaque imprimante.

Suivez le mouvement !

Bien que la qualité des imprimantes 3D petit budget ait considérablement augmenté ces dernières années, ces machines ne sont pas non plus infaillibles. Mais les fabricants bénéficiant déjà d’une bonne réputation parmi les utilisateurs (Creality et Anycubic, par exemple) s’adaptent pour mieux satisfaire leurs nouveaux fans, notamment en proposant un meilleur service client. D’ailleurs, les propriétaires d’imprimantes 3D petit budget eux-mêmes mettent leur pierre à l’édifice en ajoutant à l’énorme base de connaissances disponible en ligne. Dans ce domaine, toutes les questions ont déjà été posées, et les réponses et solutions ne manquent pas !

Lisez nos avis !

Peu de publications se donnent autant de mal que nous pour tester les imprimantes du moment. Nous n’avons aucune obligation envers les fabricants (qui ne bénéficient d’aucun droit de regard sur notre travail) et sommes toujours honnêtes dans nos conclusions. Si vous ne trouvez pas d’avis publié sur une machine spécifique et que vous aimeriez en savoir plus à son sujet, n’hésitez pas à nous contacter sur l’adresse editors@all3dp.com.

Avoir conscience des frais

Vous avez acheté une imprimante 3D ? Vous n’avez pas fini d’en payer les frais ! Outre l’achat régulier de matériau pour l’impression de vos objets, sachez qu’il vous faudra aussi prévoir certains coûts de maintenance générale, par exemple des buses pour votre imprimante FDM, ou du film FEP pour votre machine MSLA. Bien sûr, d’autres pièces peuvent également s’user, voire se casser. Il faudra donc aussi prendre en compte les coûts liés aux remplacements. Il sera plus facile de trouver des pièces de rechange si vous possédez une imprimante de type RepRap au design open source. Elles sont en effet conçues avec des composants en libre accès sur le marché. Les machines fermées destinées aux débutants sont peut-être plus simples à utiliser, mais les pièces détachées sont quasiment impossibles à trouver (dans l’hypothèse peu probable où vous êtes parvenu à découvrir la source du problème).

Pourquoi souhaitez-vous une imprimante 3D ?

Si c’est simplement pour tester un nouveau hobby, les émois des premiers essais vous passeront vite. L’imprimante 3D est, après tout, la version « maison » d’une technologie de fabrication très complexe. Vous devez donc, tôt ou tard, vous attendre à rencontrer petits soucis et gros problèmes avec votre machine. En ayant un certain objectif en tête, vous aurez la motivation de trouver des solutions aux différents obstacles que votre imprimante jettera sur votre route. Si vous imprimez juste parce que ça a l’air sympa, vous aurez vite fait de vous désintéresser, voire de laisser tomber par frustration devant la montagne de rebuts et de ratés engendrés.

Vous avez un objectif ? Trouvez une imprimante adaptée pour y répondre

La grande majorité des imprimantes 3D de bureau sont des machines FDM (dépôt de fil fondu) à extrusion unique. En d’autres termes, elles extrudent un matériau imprimable à travers une seule buse. Polyvalentes et applicables à un grand nombre d’utilisations grâce à leur bonne compatibilité matériaux, elles sont un peu le choix par défaut pour les débutants. Mais si vous savez que vous devez imprimer des objets aux formes complexes ou comportant des volumes semi-fermés, il y a de fortes chances qu’une imprimante à double extrusion vous facilite grandement la tâche. Il en va de même si vous avez besoin d’imprimer des objets composés de plusieurs matériaux. Si le détail et la précision sont votre priorité, optez plutôt pour une imprimante 3D résine. Il est important de connaître et de comprendre les différentes technologies qui existent afin de faire le choix qui conviendra le mieux à vos besoins.

Choisissez une imprimante adaptée à votre environnement

Selon la technologie et les matériaux utilisés, vous risquez en effet de subir quelques éclaboussures ou autres rejets. Même si elles varient grandement en taille, les imprimantes 3D FDM ont en commun de peu asperger leurs alentours, mais les émissions dues à la fusion du filament peuvent rapidement rendre l’air irrespirable. Il est donc déconseillé de rester trop longtemps à proximité. Selon les modèles que vous imprimez, le nettoyage reste assez modeste.

Côté impression 3D résine, ce n’est pas le même son de cloche. Cette technologie est bien plus exigeante, et nous vous conseillons de bien y réfléchir avec d’investir dans ce type de machine. Disons-le tout de suite, la résine dégage une odeur désagréable, parfois carrément nocive. Elle est très toxique pour l’environnement, et dangereuse en cas de contact prolongé sur la peau. Les imprimantes 3D résine exigent aussi des modules de post-traitement dédiés et un équipement de protection pour l’utilisateur. Afin de dissoudre la résine non durcie qui demeure sur les surfaces, il faut notamment employer de l’alcool isopropylique 95 % (ou plus).

De manière générale, toutes les imprimantes 3D doivent être utilisées dans des endroits bien aérés, mais c’est encore plus vrai pour l’impression 3D résine.

Kickstarter, une fausse bonne idée ?

Si un grand nombre d’excellentes imprimantes 3D ont pu voir le jour grâce à Kickstarter (c’est encore vrai aujourd’hui), il n’en reste pas moins un problème de taille : la plateforme n’est pas, à proprement parler, une boutique en ligne. Financer une campagne sur le site n’est pas un acte d’achat. Vous n’achetez pas une imprimante 3D, il s’agit plutôt de soutenir une vision, d’apporter une contribution financière pour aider une entreprise ou une personne à atteindre un certain but.

Et si un projet est mal géré et que l’argent disparaît, vous n’obtiendrez rien en retour. Finalement, vous obtiendrez le plus souvent une version bêta du produit. Ce que vous payez en réalité, c’est un accès en avant-première à cette nouveauté, avec tous les défauts qui n’ont pas encore été corrigés.

De plus en plus de fabricants de renom se tournent vers Kickstarter pour lancer leurs nouveaux produits. C’est un moyen sûr d’évaluer la demande et de susciter l’intérêt des acheteurs, tout en étant soumis à la pression d’un compte à rebours. Alors que ces grosses sociétés ont tout à fait les moyens de sortir de nouvelles machines, elles préfèrent quémander auprès des utilisateurs avec la promesse d’une technologie toute neuve. Ne vous laissez pas séduire, à moins de vouloir absolument être le premier à utiliser le produit et d’être prêt à ne plus jamais revoir votre argent.

Selon nous, le jeu n’en vaut pas la chandelle. Pour autant, nous apprécions les nouvelles technologies et suivons donc les dernières campagnes menées sur la plate-forme. Par contre, vous ne verrez jamais une imprimante 3D Kickstarter dans nos guides d’achat à moins qu’elle n’ait terminé sa campagne et que l’imprimante soit largement disponible dans le commerce, avec toutes les protections qui accompagnent l’achat dans un magasin.

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Meilleures imprimantes 3D pour le secteur professionnel

Auparavant, nous incluions également dans cette liste ce que l’on pourrait appeler des « imprimantes 3D professionnelles », des machines s’adressant plus spécifiquement aux entreprises disposant d’un « certain » budget (disons plus élevé que celui du maker de base). Ces imprimantes ne jouant pas tellement dans la même catégorie, nous avons décidé de les séparer.

L’article ci-dessus se concentre donc sur les machines que M. et Mme Tout-le-Monde sont susceptibles de posséder chez eux, tandis que les imprimantes professionnelles ont désormais leur propre rubrique ! Nous vous conseillons de commencer par consulter notre article sur les Meilleures imprimantes 3D pour les entreprises. Si vous souhaitez un aperçu plus général sur l’impression 3D au service du milieu professionnel, rendez-vous dans notre section All3DP Pro.

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Glossaire des termes clés

Pas évident de choisir la bonne imprimante 3D, surtout quand on ne comprend pas tous les termes de la fiche technique ! Dans ce glossaire, vous trouverez les termes à connaître, leur explication, et des liens utiles pour mieux vous repérer dans ce beau monde de l’impression 3D.

FDM : la technologie Fused Deposition Modeling (ou modélisation par dépôt de fil fondu), généralement appelée FDM, est un procédé d’impression 3D qui consiste à extruder un matériau thermoplastique chauffé par une buse mobile pour construire un objet couche par couche. Le terme FDM est un nom déposé, ce qui a conduit le mouvement open source RepRap à lui préférer l’expression FFF (Fused Filament Fabrication), mais les deux termes sont interchangeables.

Filament : c’est le matériau de base utilisé pour imprimer des objets avec la technologie FDM. Le filament consiste généralement en un thermoplastique solide que l’on charge dans la tête d’impression, où il est chauffé à son point de fusion et extrudé à travers une petite buse. On le trouve généralement sous forme de bobines de 1,75 mm, 2,85 mm ou 3 mm de diamètre, des dimensions qui détermineront l’imprimante que vous pourrez utiliser.

G-code : c’est un langage machine utilisé pour transmettre des instructions à des outils informatiques, par exemple à une imprimante 3D. Le G-code fournit des coordonnées et des instructions pour la tête d’impression, mais aussi pour d’autres fonctions non liées au mouvement. Pour le générer, vous aurez presque toujours besoin d’un logiciel de découpe, ou « slicer ». Il comprend une bibliothèque de commandes qui permettent de contrôler des actions spécifiques telles que le mouvement, la vitesse, la rotation, la profondeur et d’autres interrupteurs et capteurs connexes utilisés dans le fonctionnement d’une machine. Familiarisez-vous avec le G-code en un rien de temps grâce à notre guide des commandes G-code.

Plateau chauffant : le plateau d’impression sur lequel on imprime le modèle peut être chauffé, ce qui évite que les couches tout juste imprimées ne refroidissent trop vite et se rétractent. Si vous imprimez avec des matériaux tels que l’ABS ou le PETG, vous aurez absolument besoin d’un plateau chauffant, mais il reste optionnel pour le PLA.

Hotend : c’est l’ensemble des composants qui permet de chauffer et de faire fondre le plastique, qui passe ensuite par la buse avant d’être déposé sur la surface d’impression.

Extrudeur : ce terme peut décrire l’intégralité du système d’entraînement et de fusion du filament, ou bien uniquement le moteur en lui-même ainsi que l’engrenage qui agrippe le filament pour l’alimenter vers le hotend. L’extrudeur peut se présenter de plusieurs manières, un paramètre qui affectera directement l’imprimante et ses performances. Il existe deux configurations principales : le système Bowden et l’entraînement direct (ou « direct drive »). Il s’agit d’un sujet complexe où les termes et les explications techniques se recoupent souvent. Notre guide sur les extrudeurs d’imprimantes 3D vous donne toutes les informations nécessaires pour y voir plus clair.

Bowden : avec ce système, le moteur de l’extrudeur est séparé du hotend. On le retrouve souvent fixé sur le châssis de l’imprimante ou sur une extrémité du portique de l’axe X. Le système d’extrusion Bowden permet d’alimenter le filament à travers un tube en PTFE (le tube Bowden, qui donne son nom à tout le mécanisme) directement vers le hotend.

Extrudeur à entraînement direct : également appelé « extrudeur direct », voire « direct drive », c’est l’autre configuration couramment utilisée. Ici, le moteur de l’extrudeur et son mécanisme d’alimentation sont directement fixés au hotend. Alimentation et zone de fusion se touchent presque.

Double extrusion : certaines imprimantes 3D disposent de deux extrudeurs (et donc de deux hotends). Cela leur permet d’imprimer en deux couleurs, ou à partir de deux matériaux différents. Si l’attrait évident réside dans la possibilité de réaliser des impressions bicolores très esthétiques, le véritable avantage des systèmes à double extrusion est tout autre. Il permet en effet avant tout de combiner différents matériaux, par exemple en utilisant un matériau de support soluble pour imprimer des formes irréalisables dans d’autres conditions. Encore une fois, il y a beaucoup à dire sur ce sujet. Pour creuser, n’hésitez pas à consulter notre guide qui vous explique tout sur la double extrusion.

PLA : c’est l’acronyme anglais de l’acide polylactique, un thermoplastique souvent utilisé dans les filaments des imprimantes 3D FDM. Il est facile à utiliser et existe en de nombreuses couleurs et finitions. Par contre, le PLA est plus fragile, ne comptez donc pas sur lui pour produire des objets très solides. Il reste très apprécié pour l’impression d’objets décoratifs, notamment parce qu’il ne coûte pas cher. Si vous souhaitez en savoir plus sur le PLA, consultez notre guide dédié.

SLA : c’est la forme courte de « stéréolithographie », une technologie d’impression 3D qui relève du processus plus large de photopolymérisation en cuve. Ce terme est souvent utilisé (à tort) pour décrire toutes les méthodes de polymérisation en cuve. En réalité, il s’agit d’une technologie spécifique, qui utilise un faisceau laser dirigé pour tracer des couches dans une cuve de résine photopolymère liquide. La SLA n’est qu’une technologie de photopolymérisation en cuve parmi d’autres.

Résine : c’est le matériau utilisé pour les imprimantes 3D de bureau dites SLA, DLP et MSLA (LCD). Constituée d’un mélange de produits chimiques comprenant un photo-initiateur, la résine se solidifie sous l’effet des rayons UV. Hautement toxique et difficile à nettoyer en cas de débordement ou d’éclaboussure, la résine exige beaucoup de précautions et d’attention. C’est un matériau désagréable à manipuler, et tous vos rebuts devront être éliminés conformément à la réglementation locale en vigueur. C’est le matériau privilégié pour obtenir des impressions très détaillées et complexes.

Imprimante 3D LCD : c’est le terme courant pour désigner les imprimantes 3D résine qui utilisent un écran LCD pour projeter les rayons UV à travers une représentation de chaque couche, comme un masque. La plupart des imprimantes 3D résine petit budget sont dotées d’un LCD, une technologie bon marché et donc très répandue. Attention, l’écran reste un consommable : un LCD monochrome produit en 2022 tiendra ainsi environ 2 000 heures.

MSLA : la stéréolithographie « masquée », ou « Mask stereolithography » (MSLA) est un terme inventé par Structo, mais popularisé par Prusa Research. Il désigne essentiellement les imprimantes 3D LCD dont il est question juste au-dessus.

Micron : cette mesure (aussi appelée micromètre) correspond à un millième de millimètre. On l’utilise habituellement pour décrire le degré de précision ou la résolution d’une surface.

Slicer : le terme anglais reste largement utilisé et désigne un logiciel de découpe. L’impression 3D consiste à construire un objet couche après couche, mais encore faut-il les créer, ces couches ! C’est le slicer qui s’en charge : il divise n’importe quel modèle 3D en un ensemble de couches et génère le code machine qui sera lu par l’imprimante pour les recréer sur la surface d’impression. De manière générale, ce code machine est ce qu’on appelle le G-code, un langage qui rassemble des instructions et des coordonnées à exécuter par l’imprimante. Nous proposons un article plus approfondi qui revient sur les slicers, si vous souhaitez creuser le sujet. Beaucoup de ces logiciels de découpe sont gratuits et open source, tandis que d’autres sont payants et développés pour des imprimantes spécifiques. Dans tous les cas, il s’agit d’un outil incontournable pour l’impression 3D.

STL : c’est le format de fichier le plus courant en impression 3D. Développé par 3D Systems dans les années 80, il ne contient que la géométrie de surface d’un objet 3D. Malgré les efforts du secteur pour passer à des formats plus efficaces et plus riches en données, comme le 3mf, le STL perdure et constitue le type de fichier de modèle 3D que l’on trouve le plus souvent dans les dépôts de fichiers les plus connus. Pour en savoir plus le format STL, n’hésitez pas à consulter notre guide.

Open source : terme utilisé pour décrire un produit (typiquement, un logiciel, mais s’applique aussi au matériel) qu’il est possible de modifier et de redistribuer librement. Dans le cas de l’impression 3D, il s’agit plus souvent de dire que tout le monde est libre de modifier et d’améliorer un projet source, et de partager ses modifications afin que d’autres puissent les tester, les modifier et les reproduire à leur tour. Les logiciels open source (ou « logiciels libres ») sont régis par des licences qui en contrôlent l’utilisation équitable et correcte, en imposant des conditions garantissant la liberté d’accès à l’œuvre et à ses dérivés.

RepRap : il s’agit du nom d’un projet initié en 2005 par le Dr Adrian Bowyer, professeur de génie mécanique à l’université de Bath. L’objectif était de développer un concepteur de réplication rapide, une machine abordable capable d’imprimer ses propres pièces de rechange ou même de créer de nouvelles machines. La grande majorité des imprimantes 3D de bureau telles que nous les connaissons aujourd’hui sont issues des travaux menés par le projet RepRap. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet passionnant, rendez-vous sur notre page wiki spéciale RepRap.

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Licence : Le texte de l'article "Les meilleures imprimantes 3D résine grand format" écrit par All3DP est publié sous la licence Creative Commons Attribution 4.0 International (CC BY 4.0).

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