Peu d’imprimantes 3D ont réussi à toucher le grand public comme la Snapmaker a su le faire. D’abord, la Snapmaker Original est devenue le troisième projet technologique le plus financé de l’histoire de Kickstarter, offrant un outil multifonctionnel pour les makers (même si certains diront qu’elle n’était pas à la hauteur de ce qu’on leur a vendu durant la levée de fonds).
Snapmaker fait ensuite encore mieux avec la Snapmaker 2.0, LE lancement de produit technologique le plus financé sur Kickstarter. Attirant l’attention des médias spécialisés de la tech (ce qui reste inhabituel pour une imprimante 3D), cette solution 3 en 1 très attendue va devoir être à la hauteur des attentes.
La Snapmaker originale, rebaptisée « Snapmaker Original » (très original), a prouvé qu’une telle machine ne devait pas nécessairement coûter des milliers d’euros. La Snapmaker 2.0 est un produit raffiné, qui élargit les possibilités de son aînée en adoptant certains choix physiques qui n’avaient pas été envisagés avec l’originale.
La campagne de levée de fond a permis de générer une montagne de commandes pour un total de 7 millions de dollars, un chiffre qui pèse lourdement sur les épaules de la Snapmaker 2.0 : est-elle à la hauteur ? C’est ce que nous avons cherché à découvrir au cours de nos tests. Suivez le guide !
Snapmaker a discrètement sorti quelques mises à jour de ses machines à la fin de l’année 2021. Pour cet article, c’est la Snapmaker 2.0 A350T qui nous intéresse, un modèle mis à niveau qui apporte plusieurs améliorations à l’A350, notamment pour l’utilisation générale de la machine, et plus particulièrement pour ces performances d’impression 3D.
Voici un bref récapitulatif des nouveautés et différences :
La Snapmaker 2.0 originale, l’A350, n’est plus disponible, de toute façon il vaut mieux acheter l’A350T. Si vous voulez réduire vos dépenses, partez sur la la F350 : c’est la Snapmaker 2.0 avec seulement les modules d’impression 3D, ce qui vous permet d’acheter l’unité de base maintenant et de la compléter par la suite. Vous pouvez également jeter un coup d’œil à la dernière nouveauté de Snapmaker, la Snapmaker Artisan.
Là où la Snapmaker Original était déjà bien, la Snapmaker 2.0 prend le relais et… elle est toujours aussi bien. Sauf qu’elle est aussi beaucoup, beaucoup plus grande, et dotée de nombreux gadgets. La Snapmaker new generation ne se défait pas de tous les défauts de son aînée (toujours quelques bugs et des ratés sur l’interface utilisateur, notamment), mais en essence, le matériel est au top : il sera à la hauteur de toute sorte de projets et capable de soutenir les ambitions des makers aux multiples talents qui souhaitent passer au niveau supérieur sans sacrifier tout l’espace de leur bureau.
La Snapmaker 2.0, comme son aînée, repose sur un ensemble de modules entièrement métalliques, chacun contribuant à une partie des fonctions vitales de la machine. Les modules linéaires garantissent le mouvement de la Snapmaker sur les axes X, Y et Z, tandis que ses trois têtes d’outils (plus en option) assurent chaque fonctionnalité de la machine.
On parle de la Snapmaker 2.0, mais elle existe en réalité sous trois versions différentes par leur taille et par leur prix, la plus petite, l’A150 (zone de travail de 160 x 160 x 145 mm), correspondant à peu près à la petite Snapmaker Original. Suivent ensuite l’A250 (230 x 250 x 235 mm), qui se rapproche en taille de la Prusa i3 MK3S, et la grosse A350 (320 x 350 x 330 mm), dont la zone de travail est bien plus importante et s’apparente aux dimensions de la Creality CR-10.
Pour ce test, Snapmaker nous a aimablement fourni une unité A350, toutes les expériences détaillées ici concernent donc cette machine en particulier, et non les deux autres.
La Snapmaker 2.0 est équipée d’une tête d’impression 3D de 1,75 mm, d’une tête d’usinage CNC à collet ER-11 et d’un laser à diode bleue de 1 600 mW. Ces trois outils fournis par défaut permettent à eux seuls de prendre en charge un nombre déconcertant de matériaux pour réaliser des projets de toutes formes et de toutes tailles.
Aboutissement de plusieurs années d’attente fervente, d’une petite dose de reproches (en raison de certaines promesses non tenues) et d’une campagne Kickstarter record, la Snapmaker 2.0 est une machine sensiblement plus développée que l’originale. On aime la douce lueur de l’éclairage LED de l’alimentation, qui pulse comme un cœur battant, mais aussi l’interface utilisateur améliorée sur le grand écran tactile couleur fonctionnant sous Android.
Le logiciel Snapmaker Luban, une évolution de CNCjs que Snapmaker utilise depuis la Snapmaker Original, offre des espaces de travail dédiés pour chacune des principales têtes d’outils, en plus d’une zone générale à partir de laquelle on transmet les tâches à l’imprimante via le wifi. Cet espace de travail permet également d’envoyer des commandes G-code et de vérifier les informations essentielles sur la machine et les tâches en cours.
Visuellement, on note un certain décalage entre le logiciel Luban et la machine elle-même : la surabondance de boutons et de consoles jure un peu avec l’aspect épuré de la machine. Avec le temps, on imagine que cet enchevêtrement de fenêtres pourrait s’enrichir de vues webcam et d’autres fonctions qui restent à imaginer. Mais pour l’instant, ça fait juste un peu désordre.
Au fond, l’objectif de la Snapmaker 2.0 est avant tout d’être productive, mais il est évident que des efforts ont été faits pour créer une machine unique. C’est d’ailleurs d’autant plus remarquable quand on considère son prix. La plus grande Snapmaker 2.0, l’A350, affiche un prix de vente conseillé de moins de 2 000 €, un chiffre qui descend à moins de 1 700 € pour l’A250, la petite Snapmaker 2.0. Compte tenu de l’amélioration de la qualité de fabrication, le prix des nouvelles machines Snapmaker n’est pas disproportionné. Pour la modularité qu’elles offrent et leur conception à l’épreuve du temps (du moins on l’espère, revenez vers nous dans trois ans), c’est un investissement assez raisonnable.
Mais être unique ne vaut pas grand-chose si la machine elle-même n’est pas performante. Heureusement, elle l’est… dans l’ensemble. On y revient ci-dessous.
Rappelons que pour utiliser l’une des multiples fonctions de la Snapmaker, il suffit de fixer la tête de l’outil au module linéaire de l’axe X avec quatre boulons et mettre en place la plaque de travail appropriée. Dans le cas de l’outil d’impression 3D, il s’agit d’une grande plaque chauffante surmontée d’une feuille magnétique. Il faut donc la fixer au chariot de l’axe Y à l’aide d’une douzaine de vis, ce qui, avouons-le, est plutôt fastidieux.
Fastidieux, c’est aussi le terme que l’on emploierait pour décrire de manière générale l’expérience d’impression 3D offerte par la Snapmaker 2.0 à l’heure actuelle. En raison de plusieurs situations frustrantes liées au flux de travail (dont certaines ont été corrigées depuis), d’un manque de souplesse général et de la lenteur des paramètres d’impression par défaut, nous ne la conseillerons pas en tant qu’imprimante 3D principale.
C’est bien dommage, compte tenu de l’excellente présentation générale de la Snapmaker 2.0 et de sa capacité, il faut le dire, à produire de superbes impressions (si ce n’est qu’il faut attendre une éternité pour les obtenir).
En dépit de ces petits reproches, on peut vraiment s’amuser avec la Snapmaker 2.0. Finalement, ce que nous avons trouvé le plus frustrant sur la partie impression 3D de la machine, c’est le logiciel Luban, le firmware, et l’interaction entre les deux.
Rien à signaler du côté de l’installation guidée, nous n’avons pu que nous émerveiller de l’élégance de l’interface utilisateur. Elle mériterait d’être plus claire à certains endroits, notamment sur l’écran d’accueil lorsque la machine n’est pas connectée au wifi.
On voit bien le bouton « Start », qui permet d’accéder aux fichiers de travail disponibles sur la mémoire locale ou externe, mais rien n’indique qu’en glissant le doigt vers la gauche, on accède à une page de menu, d’où l’on peut accéder aux paramètres de la machine, contrôler les mouvements, configurer la connectivité et, là encore, se plonger dans les fichiers de travail disponibles. Pourquoi ne pas avoir choisi ce menu comme écran d’accueil ?
Autre élément frustrant que nous avons relevé durant nos tests sur notre Snapmaker 2.0 de prêt : le nivellement automatique par maillage en neuf points du plateau qui, finalement, n’est pas d’une grande aide. En réalité, cette étape de pré-impression n’a que rarement permis de produire une première couche plane. Il est possible de définir un Z-offset par palier de 0,05 mm, mais même ce niveau de contrôle n’a pas permis de corriger les inégalités de notre machine.
Nous avons appris de Snapmaker que les premières unités livrées souffrent de problèmes dus à la sonde de mise à niveau du plateau qui est trop sensible et fixée à la tête d’impression à la mauvaise hauteur. Pour régler le problème, il existe un correctif manuel, détaillé dans un article du forum de Snapmaker. Après le repositionnement, les choses se sont quelque peu améliorées, mais même ainsi, nous trouvons qu’il est un peu difficile d’obtenir une première couche décente. La société explore d’autres solutions, mais s’en tiendra à ce capteur et ce correctif délicat, en redoublant les contrôles qualité pour détecter d’autres capteurs mal alignés.
Réglée pour se lancer avant chaque impression, il est possible d’ignorer la mise à niveau automatique en la désactivant dans les paramètres et en effectuant une calibration manuelle (en utilisant le même pas de 0,05 mm aux neuf points de mesure prédéterminés sur le plateau).
Le mode impression 3D du logiciel de la Snapmaker, Luban, propose trois profils génériques de matériaux pour le PLA, l’ABS et le PETG. Chacun de ces profils de matériaux se décline à son tour en trois profils d’impression : rapide (impression peu détaillée), standard, et très détaillée (impression trèèèèès lente). Pour des profils génériques, disons qu’ils font le job.
Ces valeurs par défaut ne peuvent pas être ajustées à la va-vite en changeant simplement quelques paramètres (même pas pour ajouter des structures de support). Autrement dit, il faut copier, renommer et configurer un nouveau profil à chaque fois. Il vous faudra donc cloner de multiples fois les profils génériques si vous voulez avoir différentes possibilités à portée de main. C’est un peu pénible. Et vous ne pourrez pas revenir à ces profils par défaut si vous faites des changements qui ne vous conviennent pas, alors pensez à prendre des notes, ou prenez l’habitude de cloner vos propres nouveaux profils avant de faire des modifications.
Propulsé par CuraEngine, le découpage fait un peu peine à voir comparé à l’expérience offerte par les slicers actuels comme Cura ou PrusaSlicer. Si vous en avez la possibilité, utilisez plutôt l’une de ces alternatives (ou d’autres, d’ailleurs).
Nous pourrions poursuivre ainsi nos lamentations, mais nos griefs concernant la fonction impression 3D de la Snapmaker 2.0 sont tous dans la même veine. Les utilisateurs de la machine, nous en sommes sûrs, auront leurs propres reproches à lui faire, mais les soucis que nous venons de citer sont ceux qui mettront tout le monde d’accord. En tout cas tant que les équipes de Snapmaker n’auront pas fait le nécessaire pour améliorer les choses.
La gravure au laser est, selon nous, la plus simple et la plus facile à utiliser des trois fonctions principales de la Snapmaker 2.0, et c’est sur cet élément que la nouvelle machine apporte le plus d’améliorations en termes de fonctionnalités et de capacités.
En plus de ce que proposait déjà la Snapmaker Original pour la gravure laser, c’est-à-dire les modes « Noir et Blanc », « Niveaux de gris », « Vecteur » et « Texte », la Snapmaker 2.0 dispose d’un plateau de gravure laser et d’une caméra et propose un processus de calibration automatique.
Le plateau de gravure laser se présente sous la forme de quatre plaques d’aluminium distinctes, qui se fixent au chariot de l’axe Y. Le tout permet d’éliminer le risque de réflexion du laser sur la face inférieure et d’assurer un refroidissement suffisant. C’est une façon pour la Snapmaker 2.0 de mieux s’adapter à chacune de ses fonctions. Disons-le, nous pourrions sans problème utiliser la machine à long terme dans cette unique configuration et sans manquer de quoi que ce soit.
Les quatre modes laser couvrent les bases nécessaires pour graver des images et découper des contours sur une variété de matériaux souples comme le cuir, le bois, l’acrylique, etc. La puissance du laser est nettement supérieure à celle de la Snapmaker Original, c’est-à-dire que vous pouvez brûler le matériau plus rapidement qu’auparavant, ce qui est plus que nécessaire sur une machine de la taille de l’A350. Pour le reste, fondamentalement, les possibilités sont les mêmes.
Chaque fois que l’on passe au laser (depuis une autre fonction), il est nécessaire de recalibrer la machine Heureusement, ce processus sur la Snapmaker 2.0 est rapide et sans difficulté.
Ajoutons que l’intégration de la caméra au module de gravure laser est particulièrement appréciable. Elle permet de prendre une photo du matériau et de l’importer dans Luban, où l’on peut aligner parfaitement le modèle à graver. Cela élimine totalement les risques liés à l’alignement manuel.
Le laser lui-même représente une amélioration importante par rapport à la Snapmaker Original, mais dans l’ensemble, le processus et les options disponibles restent les mêmes. D’après nous, la plupart des utilisateurs de la Snapmaker 2.0 risquent de passer à côté de certaines des nouveautés.
Pourtant, nous avons apprécié les plus astucieuses d’entre elles, comme la calibration automatique du laser. Cette fonctionnalité permet à la machine de découper une série de lignes à différentes hauteurs et, à l’aide de la caméra, de déterminer laquelle est la plus réussie. Si elle n’y parvient pas, elle vous donne la possibilité de l’aider en choisissant pour elle la meilleure ligne.
Les capacités de gravure CNC de la Snapmaker 2.0 restent largement identiques à celles de la Snapmaker Original, mais avec l’ajout de nouveaux éléments matériels qui rendent le travail plus facile et plus flexible. On pense principalement à la plaque de travail et à la pince de serrage ER-11 sur la tête d’outil. Pour l’insertion et le retrait des mèches CNC, on utilise les deux clés fournies, ce qui est plutôt pratique.
Ils ne sont pas vraiment quantifiables, mais ces ajouts permettent à la Snapmaker 2.0 de ressembler davantage à une véritable machine de gravure et de fraisage CNC que son aînée. Disons qu’elle fait moins amateur et permet de produire des objets dès son déballage, sans ajout ni modification.
On aimerait être aussi élogieux concernant Luban et sa prise en charge de la fonction CNC, mais en cela, quasiment rien n’a changé depuis la Snapmaker Original.
C’est selon nous une occasion manquée pour Snapmaker, qui aurait pu aller plus loin dans son logiciel pour atteindre un vrai niveau de sophistication. La concurrente la plus proche de la Snapmaker 2.0 serait sans doute la ZMorph, qui permet de manipuler des modèles 3D et de simuler la matière première pour les travaux de gravure CNC. On en est bien loin ici. Le flux de travail de base de la Snapmaker 2.0 pour la gravure CNC reste très basique, offrant un mode relief, vecteur et texte (une version limitée du vecteur).
Le relief peut être utilisé pour convertir une image bitmap en gravure en relief, avec des profondeurs variables gravées en passes pour imiter l’ombrage. Le vecteur se concentre sur les contours et permet de découper des objets dans d’autres objets. Luban propose également une option appréciable : il est possible de relier entre elles dans le logiciel les différentes parties d’un modèle afin d’en faire un ensemble plus facile à maintenir en place et à découper.
En ce qui concerne les supports de travail, d’ailleurs, la Snapmaker 2.0 est livrée avec un ensemble de quatre pinces à trois positions qui sont fixées en place avec de longs boulons M4 et des écrous à ailettes. On aime la nouvelle plaque de protection, qui est criblée de trous afin de fixer le matériau travaillé de la meilleure manière possible.
Les pinces fournies sont très bien, même si les vis sont un peu longues et gênent parfois le passage de l’outil. Orienter la coupe de manière à éviter les chocs relève parfois du défi.
Si vous voulez aller plus loin que de simples formes et reliefs d’images, comme sculpter un objet dans un bloc de bois ou effectuer plusieurs passes en utilisant différents outils (comme une passe d’ébauche avant d’ajouter des détails avec une mèche de gravure), on vous conseille de vous aider de Fusion 360 d’Autodesk, d’une bibliothèque d’outils importée, d’un script de post-traitement et de votre propre expérience.
Nous avons été informés de projets de développement de post-processeurs G-code supplémentaires pour d’autres logiciels de CAO populaires, notamment FreeCAD, ArtCAM, Mastercam et Aspire. À l’heure où nous écrivons ces lignes, aucune date n’a été fixée pour ces différentes propositions.
La Snapmaker 2.0 est équipée de mèches de fraisage à bout plat et à bout sphérique, qui conviennent pour réaliser des coupes nettes et creuser les matériaux en obtenant des finitions lisses. Luban inclut des profils d’outils pour trois mèches (la troisième étant la mèche de sculpture en V, un outil qui n’est curieusement pas fourni avec la Snapmaker 2.0). Il ne vous reste donc plus qu’à régler les derniers détails, comme les passes, les profondeurs, les vitesses d’entrée et autres variables.
Il est indéniable que la Snapmaker 2.0 est une machine 3 en 1 unique avec un espace de construction énorme. Après la Snapmaker Original, il était naturel de passer à une taille supérieure, et nous serions surpris si l’A350 ne devenait pas la version la plus vendue des trois modèles de Snapmaker 2.0 disponibles.
En dépit de tous les reproches que nous avons pu lui faire ci-dessus, nous aimons la Snapmaker 2.0, un peu malgré nous. L’ancienne génération comme la nouvelle ont toutes deux leurs parts d’éléments frustrants, des défauts que l’on aurait sans doute plus de mal à pardonner chez des machines à fonction unique. Pourtant, on les accepte chez la Snapmaker, parce qu’elle se rattrape avec une grande zone de travail et des outils de qualité qui permettent de créer tout ce que l’on veut.
L’équipe Snapmaker a encore de nombreux problèmes à régler, mais nous avons déjà constaté des progrès dans ce sens au cours des quelques mois qui ont suivi la première livraison de la Snapmaker 2.0 aux utilisateurs. Le fait que la société ait réussi à livrer quelque chose de fonctionnel sans céder sous la pression de tout cet argent et de toutes ces attentes est louable.
Espérons que Snapmaker pourra concrétiser l’ambition initiale de la Snapmaker 2.0, mais pas avant d’avoir amélioré l’expérience et les fonctionnalités de base de la machine. Toutes les attentes ne sont pas donc satisfaites. La Snapmaker 2.0 est une imprimante 3D, un laser et une graveuse CNC de bonne qualité (surtout ces deux derniers), mais attendez-vous à quelques bizarreries et frustrations à contourner pendant son utilisation.
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